La garantie de succès / IJF.org

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Dec 14, 2023

La garantie de succès / IJF.org

Lors de la première journée du Grand Chelem de Tbilissi, comme des suivantes, et plus généralement lors de chaque étape du circuit mondial, tout sera une fois de plus parfaitement huilé et les spectateurs et fans de judo

Lors de la première journée du Grand Chelem de Tbilissi, comme des suivantes, et plus généralement lors de chaque étape du circuit mondial, tout sera à nouveau parfaitement huilé et les spectateurs et fans de judo pourront à leur tour se concentrer sur ce qui se passe sur le circuit mondial. les tatamis. Pour que tout fonctionne, il faut beaucoup de planification et d’efforts de la part d’équipes expérimentées et professionnelles.

Ici à Tbilissi, en Géorgie, une fois de plus l'équipe de la FIJ, en étroite coordination avec les organisateurs locaux. déploie une énergie importante pour tout aligner et dans ce contexte ce sont souvent les détails qui font la différence.

Une compétition internationale, c'est avant même les premiers matchs l'installation d'un site, avec tout ce que cela implique : câblage, mise en place des tatamis et tests. Ce sont des heures de travail concentrées sur quelques jours seulement. A la veille du grand chelem, il ne sera donc pas surprenant de voir les équipes s'affairer jusque tard dans la nuit à résoudre les moindres problèmes.

D’ailleurs, ne dit-on pas qu’il n’y a pas de problèmes, que des solutions ? C'est en tout cas l'état d'esprit de chacun, que ce soit la personne chargée de poser au millimètre près les autocollants sur les tatamis ou les techniciens qui posent des kilomètres de câbles pour relier les systèmes de surveillance, les tableaux d'affichage ou les LED et tout le look. et l'ambiance du stade, pour bien faire les choses. Chaque pièce d’équipement doit être vérifiée. Il faut s'assurer que le son fonctionne correctement, les checklists sont énormes, rien n'est laissé au hasard.

Le vendredi 24 mars, le tournoi débute à 9h30. Il n'est pas 9h29 ni même 9h31, c'est exact ! Dans les dernières heures précédant le premier « hajime », on peut donc voir des dizaines de personnes concentrées sur une seule mission : la réussite de l'événement. Le chef d'orchestre de cette installation, Claudiu Chimoiu, est présent et attentif. Dans les jours à venir, il pourra compter sur un responsable de salle, 2 opérateurs TV et un réalisateur pour la diffusion en direct, tandis que l'équipe de tournage de la FIJ, travaillant en coordination avec le diffuseur hôte, comptera sur 3 monteurs caméra. (photos et vidéo), 1 opérateur de données qui stockera en direct et classifiera toutes les images, et un caméraman qui se consacrera entièrement à la réalisation de reportages pour les réseaux sociaux et autres canaux de communication.

Le point commun de tous ces gens, comme le souligne Jack Willingham, qui dirigera lui-même l'équipe de cameramen locaux, c'est qu'ils sont des judokas. Non seulement ils savent manier une caméra professionnelle, mais ils savent ce qu’ils filment et pourquoi. Encore une fois, avant que la première image ne soit produite, il faut que tout fonctionne et fonctionne correctement.

Pour tout ce qui touche à l'informatique, la FIJ peut s'appuyer sur une équipe de 7 personnes qui feront tout pour que la compétition se déroule comme il se doit et que les résultats puissent être retransmis en direct. A cela s’ajouteront les commentateurs de live.ijf.org

Il faudrait des pages et des pages pour décrire le travail de chaque aspect. Personne n’est superflu, chacun a un rôle à jouer dans ce mécanisme d’horlogerie de haute précision. Chacun seul dans son coin n’a pas pu obtenir le résultat recherché par toute l’équipe. C’est la somme des compétences qui dépasse largement la performance individuelle de chacun.

Le plus étonnant à constater, quand on prend le temps de s'asseoir dans un coin du stade, pendant que les premiers judokas se préparent, c'est que tout se passe bien. S’il y a du stress, il est à peine palpable, infinitésimal. S’il n’y a pas de stress, c’est justement parce que chacun sait ce qu’il a à faire et le fait quoi qu’il arrive. Les mots n’ont pas leur place dans ces heures de grande effervescence, c’est l’action qui prime.

En Géorgie, il faut ajouter une armada de bénévoles et d'employés de la fédération nationale, 50 personnes en l'occurrence, mais il ne faut pas non plus oublier tout le staff de la fédération internationale qui depuis des années garantit que les épreuves du World Judo Tour soient un exemple d'organisation. Il y a quelques semaines nous étions à Tachkent en Ouzbékistan, maintenant nous sommes à Tbilissi et dans moins de deux semaines nous serons en Turquie. Au final, ce qui compte, quelle que soit l’énergie déployée, c’est que des centaines d’athlètes puissent s’exprimer pleinement, pour le plus grand plaisir de leurs fans. Et cela, avant même d’y penser, est une garantie.